heike toxicate kingslight ♦ the poison of your life.

Citation :

Heike Toxicate Kingslight feat Irina Lazareanu Surnom; Poison, Kesako, H. Age; Dix-neuf ans depuis peu. Études; Etudiante en arts. Quartier; Candem town. Orientation; Hétérosexuelle. Mais toute les femmes s'adonnent à une relation homosexuelle avant l'âge de trente ans, c'est prouvé.

O n - M y - L o n d o n - c l o u d .

citation;

► portrait robot;

prendre en photos les pigeons dans les rues ; tryo ou oasis ; hippie trash ; noisette ; hazel ; l'étourdissement ; chocolat milka fouré au caramel ; genre ; un caméléon ; un appareil photo ; mon nouveau paternel ; le russe ; le perou ; la pop folk ou le rock alternatif ; le cachemir ; un menthe religieuse ; une comette ; l'opale ; un champs de coquelicot ; moscou ; smirnoff ; marie jane ; cacao ; une gifle ; une gourmette ; vintage ; dire bonjour à tous les passants qu'on croise dans la rue.

B e h i n d - t h e - s c r e e n.

coucou, c'est moi votre pseudo

Pseudo ou Prenom; L'égoïste romantique ou Tricky fish. Cynthia.
Age; Fifteen yo.
Fréquence de connexion; Environ tous les jours si possible.
Où as tu trouvé le forum; PUB dans ma boîte mail.
Commentaire; Beau forum, design super, couleurs agréables etc. : )
Code; CHECK BY CANDICE

Bienvenue et merci de t'être inscrite, je te laisse continuer ta fiche =)

Bienvenue
Je cours te réservé Irina Lazareanu à moins que tu préfères Anne Marie von Dijk, c'est comme tu préfère.
Moi j'aime les deux, en tout cas

Merci à toutes les trois : D
Je pense que je vais prendre Irina vu que j'avais déjà une petite préférence pour elle, merci pour la réservation : )

L'autre admin qui s'occupe de réserver les personnages, le fera plus tard puisqu'elle est partie en week-end, elle sera de retour lundi =) Je ne sais pas comment faire pour cette partie là donc je ne peux pas le faire à sa place mais si quelqu'un s'inscrit entre temps avec Irina je lui demanderai de changer.

Welcome

Tout ça m'as l'air bien, même très bien.
Hâte de voir la suite

Pas de problème pour la réservation, c'est déjà sympa de me réserver Irina je vais pas en demander plus ; )
Merci toutes les deux ; merci panda j'avais envie de faire bien pour une fois contente que ça plaise alors : )

Tu as fini ?

Le code du règlement n'est pas bon =)

Pas du tout je viens de commencer :$ Normal pour le code j'ai pas encore été lire le réglement, faute de temps je vais changer dans deux minutes je penses...

D'accord =)

C'est fait : )

Oui c'est bon, je te laise finir ta fiche =)

Préviens nous quand elle sera terminée, elle est déjà bien avancé
sinon, t'as fait pas mal de fautes d'orthographes (comme moi XD ), tu pourrais les corriger si tu as le temps et le courage ^^

J'essaye de faire vite mais bon trop de chose à dire xDDD Awn désolé pour les fautes, moi et l'orthographe ça fait quinze mille mais bon je fais souvent une petite vérification avec world quand j'ai terminé... Merci : D

Tu n'as pas encore terminée ?
Parce que c'est déjà très bien ce que tu as fais !
Je dis ça, c'est pour que tu sois validée

J'ai fait la chronologie de sa vie et il ne me reste plud vraiment grand chose à peu près la moitié xD
Je suis chez mon père donc je passerais surement la majorité de mon temps sur l'ordi si il me crame pas mais mon probleme c'est que c'est un ordi mini et j'ai beaucoup de mal avec les touches
Je vais surement faire une grande partie ce soir en esperant que j'ai terminé bientot ; )

► biographie;

« Ces plaisirs violents ont des fins violentes. » Quel con, quel enfoiré d'abruti ce Shakespeare. Créer la plus merveilleuse des histoires d'amour et en faire un drame ; comme s'il n'avait pas prévu que des générations suivraient ce mouvement. Sérieusement, pourquoi a-t-il fallut que cette histoire termine mal et que des millions d'autres histoires plus réelles celles-ci se terminent tout simplement. Il a fait de l'amour quelque chose qui ne dure indéfiniment et mes parents ont suivit sa version des choses. Amour rime avec drame ? Très bien, alors après t'avoir fait cinq enfants je te quitte pour ne pas nier à ma carrière. Quel enfoiré, comme tous les hommes d'ailleurs. Oh et cette idiote, insouciante qui c'est mise à écrire la chanson la plus ridicule qui soit, Edith Piaf et son incontournable « il me dit des mots d'amour, des mots de tous les jours et ça me fait quelques choses. Lalalalalala, je vois la vie en roseee. » Mais merde putin. Comme si les hommes nous rendaient la vie facile, qu'il suffirait de simples mots pour rendre la vie belle et merveilleuse. Comme si la vie était rose...

Imaginez ce beau portrait de famille ; une femme comblée, un homme souriant et deux petites filles épanouies. Ma vie avant que Dieu décide de faire de nous ses nouveaux souffrent douleurs puisqu'il faut bien équilibrer la balance : après avoir fait le bien dans le monde en édifiant les Hommes de moments conviviales, de grandes joies et tout ce qui s'en suit, il fallait bien un échappatoire à ce pauvre et tout puissant maître suprême. Pour annoncer les festivités Dieu nous enleva l'être qui d'une manière ou d'une autre était liée à moi par les liens du sang mais également par ce fameux sixième sens, celui qui lie les jumelles - et les jumeaux évidement - entre elles. Je ne crois en aucun cas à ces stupidités mais ce que je sais c'est que lorsqu'elle se sentait mal, j'avais ce petit pincement au cœur qui faisait office d'alerte rouge. Vous vous foutez bien de savoir comment elle est morte - oui j'ai finalement renoncé au terme « s'en est allé » la possibilité d'un retour était trop présente - pourquoi je me sens aussi fautive et comment la famille à pus prendre cette grande perte ; de toute façon je n'avais pas l'intention d'en énoncer le moindre détail. Tout ce qu'il y a savoir c'est que nous avions trois ans, qu'elle n'a pas pus connaître les difficultés de la vie, nous vivions des histoires délirantes que notre mère nous racontait chaque soir avant de s'endormir, nous vivions pour courir, chanter, crier, sauter mais surtout pour voir notre père rentrer le soir et qu'il nous embrasse avant de retourner à sa pile interminable de paperasse et pour ce chiot étonnant qu'on a nommé Babouche simplement parce qu'il s'était endormis dans le chausson de notre paternel - qui a l'époque était une babouche tout droit venue d'un des pays orientaux - la nuit de son arrivée. Être parents que d'une seule fille anima en ma mère une flamme que je ne connaîtrais jamais, l'envie d'être à nouveau mère occupait toute ses pensées. « Un petit héritier pour mon cher mari ? » par-ci, « un nouveau bébé à pouponner ? » par-là... Comme si s'occuper d'un enfant était à prendre à la légère. Oh et mon père, grand homme reconnu dans la capitale russe, ne voulait en rien nier à sa réputation et la mort tragique de sa plus jeune fille fut un grand bouleversement dans cette carrière si chère à ses yeux qu'un petit garçon ne serait pas de refus. Les voilà vire voletants dans leur lit aux yeux de cette petite fille cachée dans le placard, criants leur extase réveillant cette douce gamine assoupie sur le canapé.

Il finit par réussir à la mettre en cloque et pas qu'une fois. Deux années plus tard naissait le petit fils prodige de la famille et seulement un an après la célébration de cette merveilleuse naissance, débarquaient à nouveaux deux petits perles. Nouveau portrait de famille, beaucoup moins réussis celui-ci : une femme épuisée, un homme à bout de nerf, une jeune fille soucieuse de son premier jour à la grande école, un petit garçon tenant à peine debout et deux petits princesses dans leur robes de soie grimaçant à qui veut bien les regarder. Le quotidien qui autre fois était agréable c'était transformer en un enfer bruyamment agacent. Les jumelles hurlaient leurs moindres problèmes tandis que le casse-cou apprenait à marcher et renversait tout ce qui se trouvait sur son passage. Pour vous dire que l'arrivée de cette nanie nous fit le plus grand bien à tous, ma mère pouvait enfin se reposer et moi préparer ma rentrée des classes en plein mois de juillet. Je sais que j'avais l'air stupide à gambader dans les couloirs de la maison avec ce sac rouge ignoble, à essayer diverses tenues et coiffures plus kitch les unes que les autres ; mais qu'est-ce qu'on peut bien y faire la vie à Moscou est complètement différente que celle que j'ai vécu dès mon premier pas en Angleterre. Je crois que je dois quand même beaucoup à mon père, s'il n'avait pas pris ses jambes à son coup je n'aurais surement pas connus les paysages londoniens. Mais en même temps je ne vois pas en quoi je lui serais redevable de préférer sa carrière à sa famille, puisque celons lui trop d'enfants tue l'enfant il n'avait plus de moments calmes pour travailler sur sa prochaine candidature, sur son prochain débat ou discourt stupide. Ma mère sombra dans l'alcool à cette nouvelle, comme si elle n'avait jamais vécu que pour cet homme. Elle se mit à manger tout ce qu'elle trouva sur son chemin et décida de nous envoyer chez cette grand-mère terriblement fripée et ce grand-père horriblement grognon. Je découvris alors ce qu'était la vie et les vêtements plus adéquate pour une fille de six ans. En ce qui concerne mes frères et sœurs c'était l'affaire de ces deux vieux mais je dois avouer que j'avais pris cette habitude d'aider à leur faire passer le temps, je mettais même remise à la balançoire, que j'avais quitté à la mort d'Hazel.

Ce jour que j'avais tant attendu était enfin arrivée. Dire que j'étais hystérique et que mon ventre me faisait atrocement mal ne suffirait pas à exprimer ce que je ressentait en passant la porte de cette maison blanche à laquelle je m'étais finalement faite. Le fameux bus scolaire était garé un peu plus loin dans l'allée, une ribambelle de gamins et de gamines se ruaient vers les portes pour avoir les meilleures places. Je ne connaissais personne, un vrai supplice pour une gamine de six ans qui ne savait aligner dix mois d'anglais sans hésitation. La cloche sonne, je me retrouve avec cette fille que tout le monde regarde et cette brute qui doit en être à son deuxième redoublement. La dame assise à son bureau fait l'appel, la honte monta en moi et je me sentis mal ; elle allait forcer m'appeler par ce nom qui ne signifiait déjà plus rien pour moi. « Heike Dayserodnove ? » Quelle prononciation félicitation salle sorcière. « Dezrodnov madame... » Après nous avoir tous bien gentiment demander de la corriger si elle se trompait dans la prononciation d'un de nos noms ou de nos prénoms elle osa hausser le ton et râler avant de passer à l'élèves suivant. Quelle belle garce. La sonnerie retentit de nouveau, tous ces gignoles coururent jusque dans la cours. Je m'étais assise seule près de cet arbre, le seul rescapé au fond de la cours qui n'avait pas eu le droit à sa dose de gravures. Je n'étais pourtant pas la seule à me sentir à l'écart du monde, même si certaine avec essaye d'engager la conversation elle déraillait trop souvent sur mon petit accent russe ce qui avait le dont de me rendre rouge de colère ; tout comme ce petit garçon qui attirait beaucoup plus l'attention que moi de un parce qu'il était ici depuis plus longtemps et de deux parce que c'était un mec et ils étaient en minorités dans cette école. Pourtant en m'approchant de plus près je pus m'apercevoir que si les autres venaient le voir ce n'était pas pour se lier d'amitié avec le plus beau garçon de la cours de récré mais pour se taper un fou rire, quelle bande d'abrutis. Jamais de ma vie je n'avais vu autant d'idiots réunis. Mon cœur se mis à battre tellement vite que je me demandais s'il n'allait pas finir par exploser. Ce fameux clown s'arrêta face à moi, sa voix atteint mes oreilles tandis que son souffle caressait mes joues. Plus rien n'existait à par lui et moi. Qu'est-ce que j'étais naïve à cette époque. « C'est toi la nouvelle du quartier qui vient de Russie ? » La nouvelle du quartier qui nous vient de Russie voilà comment on me voyait. Je hochai la tête en simple réponse. « Dis, ça doit pas être facile de débarquer comme ça surtout d'un autre pays... C'est quoi ton prénom ? » Rien dans le crâne, les autres gosses auraient tout de suite compris que je n'avais aucunement envie de discuter alors que c'est imbécile n'en faisait qu'à sa tête. « Heike et toi ? » Je ne sais pas vraiment pourquoi mais il baissa la tête et se tortilla les doigts c'est seulement quand il se mit à répondre que je compris pourquoi les autres se moquait de lui. « Je, euh... Gipsy. Bon je sais que t'as envie de rire alors te retiens pas vas-y fait toi plaisir, tu sais à force je m'y suis fait. » Pas besoin de vous faire un dessin pour que vous compreniez la suite ; deux êtres fragiles qui n'ont qu'une honte ce nom et ce prénom humiliant ne pouvait qu'être réunis pour le meilleur et pour le pire.

Comment expliquer à ses enfants que l'alcool lui a rendu un immense service et lui a permis de faire la rencontre amoureuse de sa vie en dix leçons par madame ex-dezrodnov. L'homme de sa vie, tu parles. Un simple enfoiré de plus dans ce monde de con ; et pêcheur à ses temps perdus en plus. Il a ramassé le gros lot avec ma mère, aussi naïve et influensable qu'une mome de cinq ans à qui tu promets une sucette. La voilà qui vient s'installer à Londres avec cet homme vicieux au porte-feuille plus que bien rempli, dans cette maison spacieuse où il vit depuis la mort de sa femme avec son abruti de fils. Je me suis mise à détester ma vie ; seule les paris débilles que me lançait Gipsy arrivaient à me faire sourire. Mais cette vie n'était-elle pas meilleure que notre petit quatre pièces dans la province russe ? Une chambre de petite fille rien qu'à moi, que demander de plus ? Cette nouvelle poupée qui parle, ces nouvelles fringues à la mode ou une tv dans ma chambre peut-être. Non je ne suis pas devenue une de ces gamines pouries gatées. J'ai simplement appris à vivre avec mes nouveaux moyens, à la londonnienne. Pourtant il y a toujours eu ce point noir sur ce nouveau portrait de famille ; ce fils exubérant qui passait son temps l'oreille collé contre la porte de ma chambre. Sa curiosité grandissait au fil des années tout comme sa mentalité. L'adolescence vient frapper de plein fouet les jeunes mais ce phénomène est bien plus visible chez les hommes. Tel père tel fils, après tout les chiens ne font pas des chats, petit curieux devint petit vicelard puis jeune goujat. Je me souviens encore de la nuit où il est venu toquer à ma porte juste pour me raconter sa première nuit de sexe, un imbecille j'ai bien dis ; ou ce jour où la poufiasse du collège la laissé tomber pour ce beau rudbyman et où il est venu se reposer son mes épaules, un putin d'imbecille.

J'avais dépasser la limite de l'amitier avec Gipsy seulement les choses ne vont pas forcement dans le sens qu'on aurait voulut et cet idiot à fait déborder un vase qui n'avait pourtant jamais existé avant cette fameuse soirée. Je ne sais plus pourquoi, je ne sais plus les raisons mais il y a bien quelque chose dont je me souviens : ces débris de verres sur le sols, ces cris ces gueulements, cette rage en moi qui m'avait fait perdre le contrôle et cette lueur dans ses yeux qui me brissait le coeur. Cette amitié était la chose la plus forte que j'avais dans ce monde de merde et la voilà détruite à néant juste parce que ces deux pauvres idiots ont voulus s'adonner aux plaisirs gouteux du sexe et de la follie ensemble mais surtout parce que ces deux abrutis c'étaient rendu compte que si leur petit coeur avait battus aussi fort et aussi vite le jour de cette rentrée au cp se n'était surement pas parce qu'ils avaient peur que l'autre se marre sur ce complexe porté disparu avec le temps.

« Maman est en haut... » malheureusement pas pour faire du gateau. Quand une mauvaise nouvelle n'arrive jamais seule ; seulement un week-end de répis après cette guerre infernale avec celui qui hante mes pensées que l'on vient me voir la tête baissée pour me lancer ces mots terrifiants à la figure. Une bonne claque, cette giffle que toutes les filles rêvent de mettre à un mec un jour ou l'autre, une patate pas celle qui pousse dans la terre mais cette bonne pêche qui vous assome, cette poire, cette tarte... Les larmes n'ont pas coulés, juste ce déchirement au coeur, ces tonnes de questions qui ont défillé dans ma tête. Pourquoi, comment, où, quand ? Ca n'arrive pas qu'aux autres. Deux semaines à broyer du noir, cents soixante treize messages de la part de Gipsy et pourtant aucun signe de vie. La chambre devait puer le phoque mort et la poussière avait surement due s'entasser sur les meubles. J'étais sur le point de partir en dépression, à coup sûr mon poids avait diminuer de moitié et je ne devais plus ressembler à grand chose ; seulement cet imbecille que j'avais traiter de tous les noms quelques jours au paravent a su faire ce qu'il se sentait obliger de faire : me redonner goût à la vie. Pas si difficile quand on a nous même perdu la femme qui durant neuf mois nous a porter dans son ventre, celle qui nous à bercer la nuit, nous à nourir au sein et à tout donner pour que l'on soit en sécurité, celle que l'on aimera toujours quoi que l'on dise quoi que l'on fasse.

J'avais bien dit que la vie n'était pas rose comme l'a prétendu Edith Piaf. Les comptes de fées que l'on nous fait voir lorsqu'on est gosse c'est du simple bourage de crâne de la propogande digne de Staline, mon bon vieux Staline ou encore de Hitler et sa fameuse moustache nasiste. Mais j'aime la vie que l'on mène lorsqu'on a dix-neuf ans, qu'on ne se demande plus pourquoi nous sommes sur terre et qu'est-ce qui pourrait bien nous arrivé demain. Cette sensation de liberté après être passé dans un autre monde, celui permis par les joies de la drogue ou de l'alcool. Cette extase et cette fougue lorsqu'on passe à l'acte avec cet homme si recement connu simplement pour oublier celui que l'on a longuement aimer et qu'on a du mal à oublier. J'aime ma putin de vie aujourd'hui.

It's over : D
Même si j'avous hésite entre Irina Lazareanu, Anne-Marie Van Dijk, Isabel Lucas et Julia Stegner maintenant xDD

Tu es validée bien sur !
Désolé de ne pas l'avoir fait avant mais nous étions toutes les 3 absentes,
donc maintenant c'est fait.

Moi je préfères Irina mais si jamais tu veaux changer, préviens une des admins par mp.

Meeerci : D
J'ai remarqué ça mais bon vu que j'ai fais mes petits scénarios en attendant ça a rien changé ; )
D'accord de toute façon en deux jours j'ai eu le temps de cogiter et puis marre de toujours me casser la tête avec l'avatar donc je garde irina vu qu'elle était my first choise.